Dans cette iconographie, la figure du dragon est l’incarnation de Satan, l’ennemi de Dieu, qui est représenté terrassé à la fin des temps.
Le chapiteau montre une scène décrite dans le livre de l’Apocalypse, où l’archange repousse la gueule de la bête de son bouclier et le transperce d’une lance.
Il s’agit d’une représentation assez fidèle à une tradition qui est déjà normalisée au XIIe siècle et reste vive jusqu’à la période contemporaine.