Barbu, l’évangéliste est vêtu d’une tunique au col rond décoré de chevrons. Il pose sa main gauche sur son pupitre tandis que le lion lui montre le phylactère déployé qui lui indique ce qu’il doit mettre par écrit. Il manque une partie du fleuron qui orne cette face du chapiteau.
La tradition associe le lion à l’Évangile de Marc car il commence par l’épisode de saint Jean-Baptiste qui prêche dans le désert tel un lion rugissant.