Malgré son caractère peu ouvert à la foi, Georges Lacombe consent, à la demande de sa femme et de sa mère, au baptême de ses filles Jeanne-Sylvie et Laure-Catherine Nigelle, sans leur donner de prénoms à réelle consonance chrétienne. En effet, l’aînée se voit doter d’un composant particulier à son prénom Sylvie, qui se réfère à la fleur anémone blanche de Normandie et la cadette le nom de la Nigelle, une autre fleur, de la famille des Renonculées.
Portrait de Nigèle et Sylvie Lacombe, Georges Lacombe, collection privée
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